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Comment bien choisir son abri de jardin ?

Voici quelques éléments à considérer :

1 - Taille : La première chose à considérer est la taille de l'abri de jardin dont vous avez besoin. Pour cela, vous devrez réfléchir à l'usage que vous souhaitez en faire. Si vous avez besoin d'un petit espace pour ranger votre équipement de jardinage, un abri de jardin de 2 à 6 mètres carrés peut suffire. Si vous souhaitez y stocker des outils plus volumineux, des bicyclettes ou même y bricoler, il peut être nécessaire de choisir un abri plus grand de 12 à 20 mètres carrés.

2 - Matériaux : Les abris de jardin sont généralement fabriqués à partir de bois, de métal ou de plastique. Chacun de ces matériaux a ses avantages et ses inconvénients. Le bois est le matériau le plus courant et peut être très esthétique, mais nécessite un entretien régulier. Le métal est durable et ne nécessite pas d'entretien particulier, mais est sensible à la condensation et peut être plus cher. Le plastique est facile à entretenir, léger et abordable, mais peut paraître moins solide.

3 - Durabilité : La durabilité de l'abri de jardin est un facteur important à prendre en compte. Assurez-vous que l'abri est intégré avec des matériaux de qualité qui résistent aux intempéries et à l'usure au fil du temps. Assurez vous que la couverture de votre abri corresponde à ces caractéristiques : légère, durable.

4 - Style : L'esthétique de l'abri de jardin est importante si vous souhaitez qu'il s'intègre bien dans votre jardin. Il existe différents styles, du traditionnel au moderne, et vous pouvez choisir celui qui convient le mieux à votre style personnel.

5 - Prix : Enfin, le prix est un facteur important à prendre en compte. Les abris de jardin peuvent être assez chers, donc précisez-vous de définir un budget et de choisir un abri qui correspond à vos moyens.

En somme, pour bien choisir un abri de jardin, vous devrez réfléchir à la taille, aux matériaux, à la durabilité, au style et au prix. En gardant ces éléments à l'esprit, vous pourrez choisir un abri qui conviendra parfaitement à vos besoins.



 
 
Rédigé le  3 mars 2023 14:59  -  Lien permanent
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Quels sont les facteurs d'altération du bois ?

 


UN BOIS ABÎMÉ PAR L'HUMIDITÉ


Le bois est un matériau hygroscopique, c'est-à-dire qu'il absorbe et dégage naturellement de l'eau de manière à trouver l'équilibre dans son environnement immédiat.


Un bois exposé à un fort taux d'humidité va gonfler puis se rétracter en séchant. Lorsqu'il sèche, on peut constater un fendillement.


Aussi, un fort taux d'humidité favorisera l'apparition de champignons et de pourriture. Sous l'action de l'eau, le bois bleuit puis noircit. Si l'humidité persiste, alors il pourrit.


À l'inverse, un bois desséché va subir un retrait, c'est à dire qu'il diminue son volume et ses dimensions.


UN BOIS ABÎMÉ PAR DE FORTES AMPLITUDES THERMIQUES


Le bois peut souffrir d'un écart conséquent de température selon les saisons. Par exemple, un bois exposé en plein été peut atteindre une température proche de 60°C. A l'opposé, en plein hiver, les températures de surface peuvent être inférieures à -25°C.


En cas de gel ou de forte chaleur, on peut constater des fendillements importants.


UN BOIS ABÎMÉ PAR LA QUALITÉ DE L'AIR


Un bois attaqué par la pollution devient gris et se ternit par un dépôt de poussières polluantes.


UN BOIS ABÎMÉ PAR LA LUMIÈRE


Un bois exposé de façon permanente au rayonnement ultra-violet voit son esthétique altérée et devenir jaune. Attention, il s'agit juste d'une pigmentation superficielle et non pas d'une détérioration plus profonde.


UN BOIS ABÎMÉ PAR LES INSECTES


Généralement, l'action d'insectes dans un bois se détecte par l'observation de petites galeries dans le bois ou la présence de sciures. Ce qu'il faut maintenant, c'est identifier de façon précise l'insecte responsable des dégâts. Chaque type d'insecte abîme le bois avec une particularité qui le signe.

Rédigé le  25 juin 2019 21:14  -  Lien permanent
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Du nouveau pour abriter les abris de jardin, carports et chalets en bois

 


La construction d'un bureau et d'un lieu de stockage couvert à l'entrée de Razac sur l'Isle derrière la station de lavage auto au bord de la route départementale n°2089.


Daniel MARIN est en train de monter une exposition afin de présenter certains de ses produits. Car nous le répétons, les abris de jardin vendus sur notre boutique sont en stock dans nos dépôts : plus de 100 abris en stock.


Concernant les chalets habitables ainsi que les carports appelés aussi abris de voiture ou auvents, leur présence dans le stock est plus aléatoire en fonction des modèles.

Rédigé le  26 mars 2013 10:02  -  Lien permanent
Voir le produit associé
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Abri de jardin en bois : préconisation sur les traitements

 


Des bois de qualité différenteabri de jardin en bois 13 m²


Les abris de jardin sont fabriqués principalement en résineux :  pin sylvestre (pinus sylvestris), le pin du nord et en épicéa (picea abies).


Nous vous proposons des abris en épicéa. Le bois d’épicéa est blanc, les arbres sont triés afin de garder ceux qui présentent des accroissements fins et un bois tendre, de haute qualité. Ces derniers servent à la charpente, à la menuiserie, au placage, au déroulage, à la fabrication de poteaux et de perches, mais aussi à la lutherie pour les plus beaux bois et arbres de moins bonne qualité sont consacrés à l'industrie (pâte à papier, panneaux de fibres, emballage, coffrage).


Les essences de bois brut sont des espèces très qualitatives qu'il suffit de traiter correctement dès le montage de son abri de jardin pour le rendre résistant aux différentes actions du temps.En effet, non traités, ils sont vulnérables aux agressions climatiques (UV, pluie, chaud, froid...) et aux insectes xylophages, organismes vivants dont le régime alimentaire est composé de bois.


 Il faut donc impérativement, et dans cet ordre, traiter et lasurer.


 Traiter son abri avantabri de jardin 19 m² le montage


L'objectif du traitement est de protéger le bois de son abri en profondeur contre les attaques atmosphériques, les insectes et les champignons. Cela signifie imprégner un traitement liquide et pénétrant en profondeur.


Appliquer un produit type Xylophene (Conçu par Dyrup) garantissant une efficacité de 20 ans. Cette étape n'est à réaliser qu'une seule fois, dans les meilleures conditions (application exclusivement sur bois sec), idéalement sur l'ensemble des madriers et accessoires bois avant même le montage de l’abri. Quelque soit le produit utilisé, il doit être insecticide, fongicide et anti-termites destiné au traitement préventif et curatif des bois extérieurs. Attention, pendant le séchage du traitement, ne jamais laisser un madrier exposé au soleil, il risque fortement de vriller. Il est possible de traiter l'abri une fois monter pour cela nous vous conseillons l'utilisation d'un pulvérisateur de jardin sans oublier biensûr de se protèger les yeux ainsi que les mains.


abri de jardin en bois 13 m²


 


Monter son abri et lasurer 


 Il est alors possible de monter son abri de jardin entièrement pour enfin appliquer la lasure ou une peinture bois.


La lasure ou une peinture bois est une protection à appliquer tous les 2 ans.


La lasure protège et décore durablement le bois. Elle laisse respirer la matière sans y pénétrer. Protection de surface, elle étanchéifie le bois et le protège des UV en évitant que le bois grise. Contrairement au traitement, dont l’application garantie une efficacité de 20 ans, la lasure est efficace pendant de un à deux ans en fonction de l'exposition au soleil et des intempéries.


Il existe énormément de choix de couleur et il est assez facile de trouver son bonheur : incolore, bois (chêne clair, chêne moyen...) ou coloris plus tendance (gris océan, beige...) qu'on voit notamment de plus en plus sur les abris toit plat.

Rédigé le  18 mars 2013 11:36 dans Entretien abri de jardin  -  Lien permanent
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La déclaration préalable de travaux pour la construction des abris de jardin, carport...


Déclaration préalable de travaux


Mise à jour le 23.03.2012 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)


Principe


La déclaration préalable est un acte administratif qui donne les moyens à l'administration de vérifier qu'un projet de construction respecte bien les règles d'urbanisme en vigueur. Elle est généralement exigée pour la réalisation d'aménagement de faible importance.


Travaux concernés


Une déclaration préalable est notamment exigée pour les travaux suivants réalisés sur une construction existante :



  • travaux qui créent entre 5 m² ou 20 m² de surface de plancher ou d'emprise au sol. Le seuil de 20 m² est porté à 40 m² si la construction est située dans une zone urbaine d'une commune couverte par un plan local d'urbanisme (PLU) ou un document assimilé (par exemple, un plan d'occupation des sols). Toutefois, entre 20 et 40 m² de surface de plancher* ou d'emprise au sol**, un permis de construire est exigé si, après réalisation, la surface ou l'emprise totale de la construction dépasse 170 m²,

  • travaux de ravalement ou travaux modifiant l'aspect extérieur d'un bâtiment,

  • travaux changeant la destination d'un bâtiment (par exemple, transformation d'un local commercial en local d'habitation) même lorsque celle-ci n'implique pas de travaux.


* surface de plancher : somme des surfaces de plancher closes et couvertes sous une hauteur supérieure à 1,80 m,calculée à partir du nu intérieur des façades des bâtiments excluant ainsi les épaisseurs correspondant à l'isolation


**emprise au sol : Projection verticale du volume de la construction, tout débord et surplomb inclu (par ex : un balcon)


Démarche


Constitution du dossier


L'intéressé doit déclarer son projet au moyen de l'un des formulaires suivants :



  • cerfa n°13702*02 pour les demandes tenant à la réalisation de lotissements et autres divisions foncières non soumis à permis d'aménager,

  • cerfa n°13703*02 pour les demandes tenant à la réalisation de construction et travaux non soumis à permis de construire portant sur une maison individuelle et/ou ses annexes,

  • cerfa n°13404*02 pour les demandes tenant à la réalisation de constructions, travaux, installations et aménagements non soumis à permis de construire comprenant ou non des démolitions.


Le formulaire doit être complété de pièces, dont la liste est limitativement énumérée sur la notice de déclaration préalable de travaux.


Dépôt du dossier


Le dossier doit être envoyé en 2 exemplaires par lettre recommandée avec avis de réception ou déposé à la mairie de la commune où se situe le terrain. Des exemplaires supplémentaires sont parfois nécessaires si les travaux ou aménagements sont situés dans un secteur protégé (monument historique, réserve naturelle, parc national...).


La mairie délivre un récépissé avec un numéro d'enregistrement qui mentionne la date à partir de laquelle les travaux pourront débuter en l'absence d'opposition du service instructeur.


Instruction de la demande


Le délai d'instruction est généralement de 1 mois à compter de la date du dépôt de la demande.


Un extrait de la déclaration préalable doit faire l'objet d'un affichage en mairie dans les 8 jours qui suivent son dépôt et ce pendant toute la durée de l'instruction, c'est-à-dire pendant au moins 1 mois.


Décisions de la mairie


En cas d'acceptation


Lorsque la déclaration préalable a été acceptée, le bénéficiaire dispose d'un délai de 2 ans à partir de la date d'obtention pour commencer les travaux. Passé ce délai, la déclaration préalable n'est plus valable.


Une fois que les travaux ont commencé, ils ne doivent pas être interrompus pendant plus d'1 an. Toutefois, ils peuvent être échelonnés à condition que chaque interruption soit inférieure à 1 an, et que les travaux exécutés d'une année sur l'autre soit suffisamment importants et significatifs.


Si les travaux ne peuvent être commencés dans le délai de 2 ans ou si le titulaire de l'autorisation prévoit d'interrompre le chantier pendant plus de 1 an, il peut demander de prolonger sa déclaration préalable d'1 an. Cette demande doit être effectuée à la mairie et doit intervenir 2 mois avant l'expiration du délai de validité de la déclaration préalable.


En cas de refus


Lorsqu'une la déclaration préalable a été refusée, le demandeur a la possibilité de demander à la mairie de revoir sa position. Cette demande s'effectue dans les 2 mois suivant le refus par lettre recommandée avec avis de réception.


Si cette tentative échoue, le demandeur a 2 mois à compter de la notification de la décision de refus pour saisir le tibunal administratif par lettre recommandée avec avis de réception.


Le demandeur doit exposer clairement les raisons qui lui permettent de justifier son droit à l'obtention d'une déclaration préalable.


En l'absence de réponse


La décision de la mairie peut ne pas donner lieu à la délivrance d'un document écrit au terme du délai d'instruction de 1 mois.


L'absence d'opposition au terme de ce délai vaut décision tacite de non-opposition à la réalisation du projet.


Une attestation de non-opposition à déclaration préalable peut être délivrée sur simple demande à la mairie.


Source : vosdroits.service-public.fr/ (mars 2013)


 


Rédigé le  14 mars 2013 19:02 dans Permis de construire ou déclaration préalable ?  -  Lien permanent
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Le permis de construire : obligatoire pour quels chalets en bois ?

Permis de construire


Mise à jour le 06.03.2012 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)


Principe


Le permis de construire est un acte administratif qui donne les moyens à l'administration de vérifier qu'un projet de construction respecte bien les règles d'urbanisme en vigueur. Il est généralement exigé pour tous les travaux de grandes importances.


Travaux concernés


Un permis de construire est notamment exigé dès lors que les travaux envisagés sur une construction existante :



  • ont pour effet de créer une surface de plancher* ou une emprise au sol** supérieure à 20 m²,

  • ou ont pour effet de créer une surface de plancher ou une emprise au sol supérieure à 40 m² dans les zones urbaines couvertes par un plan local d'urbanisme (PLU) ou un document assimilé. Toutefois, entre 20 et 40 m² de surface de plancher ou d'emprise au sol, un permis de construire est exigé lorsque les extensions ont pour effet de porter la surface totale de la construction au-delà de 170 m².

  • ou ont pour effet de modifier les structures porteuses ou la façade du bâtiment, lorsque ces travaux s'accompagnent d'un changement de destination (par exemple, transformation d'un local commercial en local d'habitation),

  • ou portent sur un immeuble inscrit au titre des monuments historiques ou se situant dans un secteur sauvegardé.


* surface de plancher : somme des surfaces de plancher closes et couvertes sous une hauteur supérieure à 1,80 m,calculée à partir du nu intérieur des façades des bâtiments excluant ainsi les épaisseurs correspondant à l'isolation


**emprise au sol : Projection verticale du volume de la construction, tout débord et surplomb inclu (par ex : un balcon)


S'agissant des constructions nouvelles, elles doivent être précédées de la délivrance d'un permis de construire, à l'exception des constructions qui sont dispensées de toute formalité et celles qui doivent faire l'objet d'une déclaration préalable.


À noter :  le recours à un architecte pour réaliser le projet de construction est obligatoire dès lors que la surface de plancher ou l'emprise au sol de la future construction dépasse 170 m².


Démarche


Constitution du dossier


La demande de permis de construire doit être effectuée au moyen de l'un des formulaires suivants :



  • cerfa n°13406*03 lorsqu'il s'agit d'une maison individuelle et/ou ses annexes,

  • cerfa n°13409*02 pour les autres constructions (logement collectif, exploitation agricole, établissement recevant du public...).


Le formulaire doit être complété de pièces, dont la liste est limitativement énumérée sur la notice de demande de permis de construire.


Dépôt du dossier


Le dossier doit être envoyé en 4 exemplaires par lettre recommandée avec avis de réception ou déposé à la mairie de la commune où est situé le terrain. Des exemplaires supplémentaires sont parfois nécessaires si les travaux ou aménagements sont situés dans un secteur protégé (monument historique, site, réserve naturelle, parc national...).


La mairie délivre un récépissé comportant un numéro d'enregistrement qui mentionne le point de départ de la date à partir de laquelle les travaux pourront commencer en l'absence d'opposition du service instructeur.


Délais d'instruction


Le délai d'instruction est généralement de :



  • 2 mois pour une maison individuelle et/ou ses annexes,

  • ou 3 mois dans les autres cas.


Un extrait de la demande de permis de construire doit faire l'objet d'un affichage en mairie dans les 8 jours qui suivent son dépôt et reste affiché tout le temps de l'instruction du dossier, c'est-à-dire pendant au moins 2 ou 3 mois.


Décisions de la mairie


En cas d'acceptation


La décision de la mairie prend la forme d'un arrêté municipal. Cette décision est adressée à l'intéressé par lettre recommandée avec avis de réception ou par courrier électronique.


En cas de refus


Lorsqu'un permis de construire a été refusé, le demandeur a la possibilité de demander à la mairie de revoir sa position. Cette demande s'effectue dans les 2 mois suivant le refus par lettre recommandée avec avis de réception.


Si cette tentative échoue, le demandeur a 2 mois à compter de la date de la notification de la décision de refus pour saisir le tribunal administratif par lettre recommandée avec avis de réception.


Le demandeur doit exposer clairement les raisons qui lui permettent de justifier son droit à l'obtention d'un permis de construire.


En l'absence de réponse


La décision de la mairie peut également ne pas donner lieu à la délivrance d'une réponse écrite au terme du délai d'instruction. Cela indique, en principe, qu'elle ne s'oppose pas au projet tel qu'il est décrit dans la demande de permis de construire. L'intéressé a tout de même intérêt à demander à la mairie un certificat attestant de son absence d'opposition à la réalisation du projet.


Source : vosdroits.service-public.fr/ (mars 2013)

Rédigé le  12 mars 2013 0:04 dans Permis de construire ou déclaration préalable ?  -  Lien permanent
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